les parcours ci-dessous seront supprimés  :

Rapido Bus 1 :

Rapido Bus 3 :

Rapido Bus 4 :

Rapido Bus 6 :

Ligne 10 :

Tous les parcours sont supprimés.

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Tous les parcours sont supprimés.

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200 articles! Et voici le 201!  Si la barre symbolique des 200 articles a pu être franchie aujourd'hui, c'est grâce à vous, fidèle lecteur de notre blog, amis passionnés! Sans votre présence ici, ce chiffre n'aurait sans doute jamais été atteint! 

Alors à cette occasion nous vous disons un grand "MERCI" et nous espérons vous voir encore plus nombreux sur notre blog!

Bonne visite à tous :)

L'équipe du LTV

Et voilà! Quelques temps après une agression à Namur, qui elle également s'était produite quelques jours après une agression sur le réseau du TEC Liège-Verviers, une nouvelle agression est à déplorer à Seraing, près de Liège.

Voici le compte-rendu de la situation:

Un chauffeur des TEC Liège-Verviers a fait l'objet de menaces, lundi soir, dans son bus, à la gare routière de Seraing. L'auteur des faits, Jonathan C., 21 ans, a menacé avec un couteau dont la lame mesurait 30 centimètres le chauffeur qui lui avait fait remarquer qu'il voyageait sans titre de transport.

Quatre contrôleurs et la police pour maîtriser l'agresseur

Jonathan C. a également menacé le chauffeur avec une chaîne de vélo après avoir sauté à pieds joints sur la banquette arrière de l'autobus. Il a fallu quatre contrôleurs du TEC, aidés par la police, pour maîtriser l'agresseur, qui a été déféré mardi au parquet de Liège.

source rtlinfo

Si la décision finale quant à l'application de l'accord interprofessionnel appartient au gouvernement, fût-il en affaires courantes, le syndicat socialiste ne désarme pas et fera entendre une nouvelle fois son mécontentement demain/vendredi dans plusieurs régions du pays.

Ainsi, à Liège, une concentration de militants est prévue dès 11 heures, Place Saint Paul, où des tracts seront distribués. Entre 3.000 et 5.000 travailleurs y sont attendus.

Face à cette mobilisation annoncée, les TEC Liège-Verviers ont déjà indiqué que l'ensemble de leur réseau, dans la région, "sera très fortement perturbé durant toute la journée, en raison de la participation d'une partie importante du personnel à la manifestation interprofessionnelle de ce vendredi". Des retards non-négligeables sont ainsi à prévoir et des suppressions de services "ne sont pas à exclure".

Dans la région liégeoise toujours, des entreprises telles qu'Arcelor et Spa Monopole seront elles aussi touchées. "Toute la sidérurgie ainsi que de nombreuses entreprises des secteurs de la chimie ou encore de la construction devraient rejoindre le mouvement", a déclaré Marc Goblet, président de la FGTB liégeoise. "L'objectif, c'est évidemment d'amener le maximum de militants à cette concentration", celle-ci ne constituant "qu'une première étape avant la journée de grève nationale du 4 mars", a-t-il ajouté.

Autre région concernée par les actions de ce 18 février: le Brabant wallon. "Une distribution de tracts est prévue dès 5h-5h30 au rond-point du Shopping de Nivelles", a précisé Benoît Blondeau, secrétaire régional de la FGTB. Sur le coup de 9 heures, un cortège partira de ce rond-point pour se diriger vers le centre de Nivelles via le boulevard de la Dodaine.

"Rien ne dit qu'il n'y aura pas de blocages dans certaines entreprises mais il est trop tôt pour le dire. Nous verrons au fil de la journée de demain/vendredi", a ajouté le responsable du syndicat socialiste.

Enfin, à Anvers, une manifestation partira à 10 heures de la Leopold De Waelplaats pour rejoindre, à 13 heures, la Groenplaats.

Par ces actions, qui précèdent la mobilisation générale du 4 mars prochain, le syndicat socialiste - rejoint dans certaines régions par son homologue libéral - entend réitérer son rejet de l'accord interprofessionnel, y compris de sa nouvelle mouture négociée par le gouvernement. Malgré ses avancées, celle-ci a été jugée insuffisante par la FGTB, la CGSLB et la CNE qui, toutes, dénoncent notamment la faiblesse de la marge salariale maximale - fixée à 0,3 pc pour 2012. "Nous réclamons bien entendu le respect de la liberté de négocier dans les secteurs qui se portent bien.

Mais, plus généralement, nous avons un message pour le gouvernement: il n'est pas question que l'austérité touche une nouvelle fois les travailleurs", a conclu le président de la FGTB liégeoise. (belga)

En 2010, le groupe des transports en commun TEC a recensé une cinquantaine d'agressions, un chiffre en baisse continue depuis 2004 lorsque le double d'agressions était encore recensé, indique mardi midi la Société régionale wallonne du transport (SRWT) dans un communiqué de presse.
Les chauffeurs du TEC ont été victimes en 2010 de 56 agressions entraînant une incapacité de travail, soit une agression en moyenne tous les 5 millions de voyageurs (ou 0,2 agression par million de voyageurs). Le nombre d'agressions est en baisse continue sur le réseau du TEC depuis plusieurs années: en 2009, on comptait 64 agressions, contre 80 en 2008, 100 en 2007, 101 en 2006 et 102 en 2005. En 2004, 113 agressions ont été enregistrées, soit plus du double du nombre d'agressions recensées l'an dernier. Le rapport par million de voyageurs se chiffrait alors à 0,61, soit trois fois plus qu'en 2010. Le groupe TEC explique ce succès notamment par la mise en place en 2006 du Plan SécuriTEC. Ce plan de prévention prévoit entre autres le renforcement des moyens humains dédiés à la sécurisation des voyageurs et du personnel, le renforcement des moyens techniques avec 65% des bus équipés de caméras embarquées (80% à l'horizon 2012), ainsi que le renforcement des partenariats de prévention avec les zones de police, les responsables des contrats de sécurité des grandes villes et avec certains établissements scolaires. A ce plan de prévention s'ajoute la mesure répressive du décret CiviliTEC. Depuis le 1er novembre 2008, les comportements inciviques peuvent en effet être sanctionnés par les contrôleurs assermentés du Groupe TEC au travers d'amendes administratives.

Source: rtlinfo